Bouquet de pensées
(24 liens)
L’individuation, selon Jung
Le mandala
Le racisme…
Accompagner…
L’imaginaire…
J’ai fait un rêve…
Sois ton propre flambeau…
ll faut aller sur le chemin…
L’amour donné avec liberté…
Bien et Mal…
Le Tao…
Prière Amérindienne…
Un homme ne commence à être…
Femmes d’ailleurs…
Décidément l’intuition…
Ce que nous ne pouvons pas voir en nous-mêmes…
C’en serait fait de moi…
Ce que tu es…
L’attention est un autre nom pour L’amour…
L’avenir de l’homme est la femme…
Le mariage…
Vos enfants ne sont pas vos enfants…
Oui…
C’est le “travail” qui consiste à devenir soi-même et donc à réaliser ses potentialités.
Elle favorise de ce fait une meilleure intégration de la personne à son milieu,
l’être humain étant à la fois un individu
et un être social par excellence.
La réalisation des potentialités et une bonne intégration au milieu ne peuvent se faire que dans un particularisme qui respecte les différences personnelles, sociales et culturelles.
Pour avoir le droit de devenir soi-même, différent, il faut “payer” un prix à la société dont on se “distingue”.
Il est nécessaire de produire des valeurs qui compensent de façon équivalente cette distinction (principe de liberté).
Sans cet échange on ne peut parler que de marginalisation. “Ce n’est seulement dans la mesure où quelqu’un crée des valeurs objectives qu’il peut et a le droit de s’individuer”.
L’individuation exige du temps (des temps) de Retrait mais ne nous coupe pas de notre communauté. Ces temps doivent nous permettre de retourner vers les Autres, prêts pour le partage.
Marie Claire Dolghin
à travers siècles et millénaires.
Il désigne la totalité du Soi, ou illustre la totalité des assises de l’âme, mythiquement parlant, la manifestation de la divinité incarnée dans l’homme.”
Car pour aider un être, je dois certainement comprendre plus que lui mais d’abord comprendre ce qu’il comprend.
Sans cela je ne puis aider l’autre.
Le recours à l’imaginaire n’est pas une fuite dans l’inconsistant, la chimère stérile ou l’irréel absurde. L’imaginaire est ce lieu exact où ce que nous avons de plus humain rencontre le réel, le dévisage, l’envisage et commence par là-même à le transformer.
Jours où moi aussi, j’avais été intenable. Alors, me tournant vers le Seigneur, j’osai lui faire des reproches : ” Tu nous as pourtant promis d’être avec nous tous les jours ! Pourquoi n’as-tu pas tenu ta promesse ? Pourquoi m’avoir laissé seul aux pires moments de ma vie ? Aux jours où j’avais le plus besoin de ta présence, mais le seigneur m’a répondu :
“Mon ami, les jours où tu ne vois qu’une trace de pas sur le sable, ce sont les jours où je t’ai porté dans mes bras.”.
“Il faut aller sur le chemin où toutes les soifs s’en vont, alors, la femme tire les rêves de l’homme dans la matière. L’homme tire la force de la femme dans la lumière.
Et ils marchent ensemble
. Si elle ne s’élève pas, elle le détruit.
S’il ne construit pas, il la perd.
Cela est la vraie relation de l’homme et de la femme. C’est quelque chose qui est très mal compris. En Occident souvent la femme peut être une distraction, une parure, une sensualité.
Mais la femme c’est quelque chose de beaucoup plus fort, silencieuse, solide. C’est la base de l’Homme, la Femme,
parce qu’elle est là, il peut créer.
L’amour se produit lorsqu’on atteint la maturité. On ne devient capable d’aimer vraiment que lorsqu’on est devenu adulte. L’amour de celui qui a profondément besoin de l’autre est un pseudo-amour ; alors que la personne intégrée est emplie d’un amour qui déborde vers l’autre, se répandant autour d’elle comme la lumière d’une lampe qui éclaire l’obscurité. L’amour est une fonction de l’Etre. Celui qui est présent à lui-même émet autour de lui une aura d’amour. Celui qui n’a pas conscience d’être, ne dégage rien.
La force use celui qui l’utilise car elle va à l’encontre du tao, et ce qui va contre le tao va à sa perte.
Donne-moi la sagesse pour que je puisse comprendre ce que tu nous enseignes. Permets-moi d’apprendre les leçons que tu caches sous les feuilles et les pierres. Je demande la force non pas pour dominer mes frères, mais pour combattre mon plus grand ennemi, moi-même. Fais en sorte que je sois toujours prêt à venir à toi les mains propres et le regard serein. Pour que, quand la vie me laissera, comme le soleil qui baisse à l’horizon, mon âme puisse venir à toi sans remords.
La solution est dans ce qui naît ou jaillit au fond de nous-mêmes.
Que lorsqu’il arrive au rien total de ce qu’il est (…).
Quand on arrive à ce rien complet, il faut que
quelque chose soit ,
ou l’on meurt .”
Satprem
L’aventurier de l’interieur – 1977 – Jacques Chancel Radioscopie
Femmes traquées,
Femmes reniées,
Femmes oubliées,
Femmes souillées,
Femmes violées,
Femmes déchiquetées,
POURQUOI ?
l’araignée n’est pas celle que l’on croit.
La toile non plus
Stephen Joudain
Si vous dites qu’il est éprouvant de s’occuper des personnes les plus défavorisées vous avez raison.
Si vous ajoutez que c’est parce qu’elles ne veulent pas bouger, ou tas d’autres raisons les concernant, là vous avez tort.
En fait, s’il y a épreuve à s’occuper de ces personnes c’est parce qu’elles nous renvoient ce que nous ne pouvons pas voir en nous-mêmes…
JJC
“Pendant des milliers d’années, j’ai cherché Dieu. Il m’est arrivé de l’entrevoir, mais sans jamais pouvoir le rejoindre. J’avais beau courir, il avait chaque fois disparu. Un jour, je parvins devant une porte sur laquelle était écrit : C’est ici que Dieu habite.
Pour la première fois, je me mis à trembler. Je gravis les marches et levai la main pour frapper quand, en un éclair, je compris. Que se passerait-il si Dieu m’ouvrait la porte ? Ce serait la fin. Terminés les voyages, les pèlerinages, les grandes aventures, la poésie, la nostalgie de mon cœur. Finis !
Franchir ce seuil équivaudrait au suicide.
Voyant cela, poursuivait le théologien, j’enlevai mes chaussures
afin de pouvoir me retirer sans bruit. Arrivé au bas de l’escalier, je pris mes jambes à mon cou, sans jeter un coup d’œil en arrière.
Cela fait des milliers d’années que je fuis. Ma quête continue, ce n’est pas trop difficile puisque je sais où Dieu habite. C’est le seul endroit que je doive éviter, partout ailleurs je puis chercher sans danger.
La maison de Dieu m’obsède, elle est gravée dans ma mémoire.
Si par accident je devais en franchir le seuil, c’en serait fait de moi.”
Rabindranath Tagore
Deviens ce que tu es…”
Zarathoustra
L’amour, l’amitié, le sentiment d’appartenance en fraternité prennent source dans l’Amour.
L’attention est un autre nom pour l’Amour
quand celui-ci ne se contente pas d’émotions ou de bonnes volontés
mais devient l’exercice quotidien d’une rencontre avec ce qui est, avec ce que nous sommes.
Elle est sa rumeur et son bruit
Et sans elle il n’est qu’un blasphème
Il n’est qu’un noyau sans le fruit
Sa bouche souffle un vent sauvage
Sa vie appartient aux ravages
Et sa propre main le détruit
Vous êtes nés ensemble et ensemble vous resterez à jamais. Vous resterez ensemble quand les ailes blanches de la mort dissiperont vos jours. Oui, vous resterez ensemble jusque dans la mémoire silencieuse de Dieu.
Mais laissez des espaces dans votre unité.
Et laissez les vents célestes danser entre vous.
Chantez et dansez ensemble, et soyez joyeux, mais que chacun puisse être seul. Comme sont seules les cordes du luth alors qu’elles vibrent d’une même musique. Donnez vos cœurs, mais pas à la garde l’un de l’autre. Car seule la Vie peut contenir vos cœurs dans sa main. Restez l’un avec l’autre, mais pas trop près l’un de l’autre : car les piliers du temple sont éloignés entre eux, et le chêne et le cyprès ne poussent pas dans l’ombre l’un de l’autre. Car qu’est-ce que mourir, sinon se tenir nu dans le vent et se fondre au soleil. Et qu’est-ce que cesser de respirer, sinon libérer le souffle de ses marées inquiètes, pour qu’il puisse s’élever et se dilater et rechercher Dieu sans entraves ? C’est seulement lorsque vous boirez à la rivière du silence que vous chanterez vraiment. Et quand vous aurez atteint le sommet de la montagne, vous commencerez enfin à monter.
Et lorsque la terre réclamera vos membres, alors vous danserez vraiment.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie. Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable.
Seulement, simplement “OUI”
Toujours “OUI”
Un tel dit ceci
et le dit même avec colère
OUI
C’est qu’il ne pouvait pas parler autrement…
Tel autre a fait cela
Qui peut sembler abominable…
OUI
Car il ne pouvait pas faire autrement
Ce “OUI”
ce simple “OUI”
dit calmement
Et comme avec une compréhension profonde
Empli de patience
Et de compassion
Est bien le plus haut des accomplissements
Car il n’est rien qui vous soit étranger
Dont vous soyez séparé
Tout ne fait qu’un
Et cela, tout cela n’est que Vous
Swami Prajnanpad